Nous avons choisi de la jouer sobre. 4 musiciens, 4 instruments. Si l'album à paraître révèle parfois des arrangements qui tirent vers la luxuriance, sans toutefois jamais dépasser le dogme des 24 pistes, le live sera dépouillé. Calo CapoStazione à la Gretsch Baryton et Fender Mustang Bass, Geoffroy Degent aux tambours Yamaha late 80's, Marc Dixon au Shure Sm 58 et votre serviteur à la Gretsch Counrty Classic. 2 ou 3 pédales et puis c'est tout. On se branche et on commence. Sur la pointe des pieds au début, hésitant, vérification des grilles d'accords faussement simples, l'ensemble prend forme assez vite et gagne rapidement en épaisseur. Signes, regards, mains qui se lèvent pour annoncer le break, hochements de tête pour la coda, décomptes, trop vite, trop lent, trop rock, pas assez tendu. Faisons planer plus. Une curieuse alchimie à élaborer. 6 mois seulement après les sessions Saloon, 3 mois après l'enregistrement de l'album dans la Maison Perdue des Hautes Terres, les chansons de "Jours Sombres Nuits Blanches" entament leurs troisième vie. Nouveaux costumes, nouveaux rôles, nouvelles scènes. A suivre.
PS: Stephan Eicher a eu la primeur de l'album et le trouve vachement bien !
3 commentaires:
si il faut quelqu'un pour astiquer Gretsch,Fender, Vox au autre...
Je peux venir pour faire les choeurs :) Bisous
Il est sur la liste des albums à découvrir, dès que j'aurai un peu de temps pour m'y plonger.
En attendant, c'est drôle, c'est Stéphan Eicher que j'écoute pour le moment au bureau.
Vivement que je rentre ce soir, pourtant ;-)
Akasha
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